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DE COLLIOURE, EN FRANCE, A CADAQUES, EN Espagne
du 10 au 15 octobre 2022
Dimanche 9 :
Nous étions arrivés en début d’après-midi de dimanche à Saint Cyprien, certains en covoiturage, d’autres comme moi, seuls.
Les dernières arrivées furent celles qui habitaient le plus près, deux dames de Perpignan…
Jean-Louis procéda à notre installation puis nous partîmes à Collioure, pour le pot de bienvenue, au pied de la jetée, avec saucisse de foie, boudin catalan et muscat local, tout au moins pour ceux (et celles) qui buvaient de l’alcool.
Louisette se fera piquer par une guêpe, à la main.
Lundi 10 : c’est le début des hostilités.
ça commençait mal pour Marie-Noelle qui, à peine descendue du minibus voit ses semelles rester par terre : impressionnant !
Le conducteur de navette doit revenir avec les bagages et marie-Noelle récupérera une paire de chaussures moins adaptées à la marche, mais avec des semelles en bon état.
Montée vers le moulin et le fort au-dessus de Collioure, à travers un beau jardin aménagé.
Toute la journée on cheminera à travers les vignes et avec vue sur la mer, avec passage à Banyuls, avant arrivée à Llança.
Gérard fera une chute sans gravité, en évitant de justesse un figuier de barbarie. En essayant de le retenir je tombe également, et je m’apercevrai seulement le soir que j’ai un « œuf de pigeon » au coude , pas douloureux et qui disparaîtra le lendemain.
Mardi 11 :
Aujourd’hui ce sera plus calme.
Petite mise en jambes le matin le long du chemin du littoral à Llança, avec de belles villas encore fleuries à mi-octobre, mais souvent aux volets fermés.
Il faut revenir vers Llança pour aller prendre le train à la gare, en direction de Figueras.
Très bon restaurant à Figueras avec plein de tableaux exposés par des peintres de talent.
Une superbe visite du musée Dali s’en suit : étonnant, riche, magnifique, époustouflant, plein de folie. Les qualificatifs manquent. On aurait pu passer une journée entière dans ce musée et la riche église voisine où Dali avait été baptisé.
Retour en train vers Llança.
Mercredi 12 :
C’est la montée au monastère Sant Pere de Rodes. Elle sera longue.
Marie-Noelle prendra un taxi pour monter car là-haut c’est assez touristique et il y a un parking.
Trois autres personnes redescendront avec elle en taxi vers Port de la Selva, car la descente promettait d’être raide (et elle tint ses promesses).
Un beau monastère impressionnant bien que partiellement en ruines, mais bien conservé pour son grand âge.
Nous avons traversé d’autres villages ruinés, avant et après le monastère.
Pour récompenser les courageux qui avaient descendu à pied, Roland et Madeleine nous paieront un rafraichissement dans le beau village de la Selva de Mar, un peu avant l’arrivée à Port de la Selva.
Jeudi 13 :
On se dirigera vers Cadaquès, à travers le maquis (veuillez noter : terrain schisteux = maquis ; terrain calcaire = garrigue, dixit Jean-Louis).
On traverse les ruines de vieux villages, avec des puits, des églises et plein de murs en pierres sèches, témoignages de l’ancienne exploitation de la vigne.
L’arrivé sur Cadaquès, la blanche, est splendide.
C’est le jour de la visite de la maison de Dali et Gala.
Une ancienne maison de pêcheurs, au bord du petit port de Port Lligat, que Dali et Gala ont abondamment décorée et transformée.
Une maison restée « dans son jus » après le décès de Gala, comme l’étrange jardin attenant.
Nous fêterons cette visite avec une majorité de sangrias locales, qui deviendront minoritaires le lendemain, pour fêter notre journée, car certains ont mal supporté l’essai du premier jour.
A noter le soir au restaurant une paella aux pâtes étrange mais délicieuse !
On aperçoit au retour vers l’hôtel un gros sanglier, tout près dans le carrefour, et ce n’était pas un effet de la sangria…
Vendredi 14 :
C’est le dernier jour à souffrir, pour quelques-uns d’entre nous. La journée sera longue et le programme prévu inversé, à cause d’un propriétaire de bateau qui avait oublié le rendez-vous au port et son contrat…
Jean-Louis, avec l’efficacité habituelle de son agence, bataillera pour obtenir le retour en bateau, à partir du Cap de Creus, où nous nous dirigerons à pieds.
Le Cap de Creus, son paysage marin et ses bouleversements géologiques mélangeant roches granitiques et schistes érodés par l’eau et le vent sont remarquables et incroyables.
Chacun y a vu dans les étranges rochers moult figures animales et humaines.
Avec le retour en barque ce fut pour tous le bouquet final d’une très bonne semaine et petites douleurs étaient déjà oubliées.
Samedi 15 :
Jean-Louis projette le diaporama réalisé à partir de ses photos puis les gourmands vont chercher la spécialité locale de Cadaquès, les pâtisseries appelées « taps » ; d’autres flânent dans les vieilles rues.
Avant le retour vers Collioure et Saint Cyprien, pour récupérer nos véhicules.
Merci à Aix-Loisirs et à Jean-Louis
du 10 au 15 octobre 2022
Dimanche 9 :
Nous étions arrivés en début d’après-midi de dimanche à Saint Cyprien, certains en covoiturage, d’autres comme moi, seuls.
Les dernières arrivées furent celles qui habitaient le plus près, deux dames de Perpignan…
Jean-Louis procéda à notre installation puis nous partîmes à Collioure, pour le pot de bienvenue, au pied de la jetée, avec saucisse de foie, boudin catalan et muscat local, tout au moins pour ceux (et celles) qui buvaient de l’alcool.
Louisette se fera piquer par une guêpe, à la main.
Lundi 10 : c’est le début des hostilités.
ça commençait mal pour Marie-Noelle qui, à peine descendue du minibus voit ses semelles rester par terre : impressionnant !
Le conducteur de navette doit revenir avec les bagages et marie-Noelle récupérera une paire de chaussures moins adaptées à la marche, mais avec des semelles en bon état.
Montée vers le moulin et le fort au-dessus de Collioure, à travers un beau jardin aménagé.
Toute la journée on cheminera à travers les vignes et avec vue sur la mer, avec passage à Banyuls, avant arrivée à Llança.
Gérard fera une chute sans gravité, en évitant de justesse un figuier de barbarie. En essayant de le retenir je tombe également, et je m’apercevrai seulement le soir que j’ai un « œuf de pigeon » au coude , pas douloureux et qui disparaîtra le lendemain.
Mardi 11 :
Aujourd’hui ce sera plus calme.
Petite mise en jambes le matin le long du chemin du littoral à Llança, avec de belles villas encore fleuries à mi-octobre, mais souvent aux volets fermés.
Il faut revenir vers Llança pour aller prendre le train à la gare, en direction de Figueras.
Très bon restaurant à Figueras avec plein de tableaux exposés par des peintres de talent.
Une superbe visite du musée Dali s’en suit : étonnant, riche, magnifique, époustouflant, plein de folie. Les qualificatifs manquent. On aurait pu passer une journée entière dans ce musée et la riche église voisine où Dali avait été baptisé.
Retour en train vers Llança.
Mercredi 12 :
C’est la montée au monastère Sant Pere de Rodes. Elle sera longue.
Marie-Noelle prendra un taxi pour monter car là-haut c’est assez touristique et il y a un parking.
Trois autres personnes redescendront avec elle en taxi vers Port de la Selva, car la descente promettait d’être raide (et elle tint ses promesses).
Un beau monastère impressionnant bien que partiellement en ruines, mais bien conservé pour son grand âge.
Nous avons traversé d’autres villages ruinés, avant et après le monastère.
Pour récompenser les courageux qui avaient descendu à pied, Roland et Madeleine nous paieront un rafraichissement dans le beau village de la Selva de Mar, un peu avant l’arrivée à Port de la Selva.
Jeudi 13 :
On se dirigera vers Cadaquès, à travers le maquis (veuillez noter : terrain schisteux = maquis ; terrain calcaire = garrigue, dixit Jean-Louis).
On traverse les ruines de vieux villages, avec des puits, des églises et plein de murs en pierres sèches, témoignages de l’ancienne exploitation de la vigne.
L’arrivé sur Cadaquès, la blanche, est splendide.
C’est le jour de la visite de la maison de Dali et Gala.
Une ancienne maison de pêcheurs, au bord du petit port de Port Lligat, que Dali et Gala ont abondamment décorée et transformée.
Une maison restée « dans son jus » après le décès de Gala, comme l’étrange jardin attenant.
Nous fêterons cette visite avec une majorité de sangrias locales, qui deviendront minoritaires le lendemain, pour fêter notre journée, car certains ont mal supporté l’essai du premier jour.
A noter le soir au restaurant une paella aux pâtes étrange mais délicieuse !
On aperçoit au retour vers l’hôtel un gros sanglier, tout près dans le carrefour, et ce n’était pas un effet de la sangria…
Vendredi 14 :
C’est le dernier jour à souffrir, pour quelques-uns d’entre nous. La journée sera longue et le programme prévu inversé, à cause d’un propriétaire de bateau qui avait oublié le rendez-vous au port et son contrat…
Jean-Louis, avec l’efficacité habituelle de son agence, bataillera pour obtenir le retour en bateau, à partir du Cap de Creus, où nous nous dirigerons à pieds.
Le Cap de Creus, son paysage marin et ses bouleversements géologiques mélangeant roches granitiques et schistes érodés par l’eau et le vent sont remarquables et incroyables.
Chacun y a vu dans les étranges rochers moult figures animales et humaines.
Avec le retour en barque ce fut pour tous le bouquet final d’une très bonne semaine et petites douleurs étaient déjà oubliées.
Samedi 15 :
Jean-Louis projette le diaporama réalisé à partir de ses photos puis les gourmands vont chercher la spécialité locale de Cadaquès, les pâtisseries appelées « taps » ; d’autres flânent dans les vieilles rues.
Avant le retour vers Collioure et Saint Cyprien, pour récupérer nos véhicules.
Merci à Aix-Loisirs et à Jean-Louis