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Ce printemps, nous renouons avec les sorties surprises, et ce sont deux cars qui sont partis pour .... la Loire et plus précisément Andrézieux Bouthéon et Chazelles sur Lyon.
Au programme: visite du château de Bouthéon et du musée de la chapellerie à Chazelles.
Les deux groupes se sont retrouvés à midi au restaurant "à l'orée du château", avec pour consigne de garder le secret sur la visite de la matinée.
Repas excellent, des quenelles de saumon au moelleux au chocolat, servi à bonne température. Bref, un sans faute!
Le château de Bouthéon, au départ place forte médiévale, remanié à la renaissance, devenu ensuite résidence bourgeoise, offre une architecture atypique. Sa visite, sous l'égide d'un excellent guide, permet de suivre l'histoire de la région, tout au long de son évolution. Les appartements de Mathieu de Bourbon, avec leurs corridors et salle de prière annexes, surprennent tout autant que le grand escalier d'apparat où se tenait mme Coignet ou la serre qui domine la plaine du Forez.
Du haut de la tour belvédère, on découvre une vue à 360° sur les monts du Forez, les monts du Lyonnais et même sur le mont Gerbier de Jonc, par très beau temps.
Dans les sous sols du bâtiment Nord sont aménagés une succession d'aquariums et de scènes aquatiques consacrés au Fleuve Loire. Le sous-sol du bâtiment sud est consacré à l'histoire de la marine de Loire, présentée de façon ludique et numérique.
Embarquer dans la "ramberte" de Pierre le marinier pour aller livrer des marchandises après deux jours de navigation n'est pas de tout repos! mais c'est une animation très appréciée!
La promenade dans le parc conduit au parc animalier et botanique, ainsi qu'un pavillon de plaisance et un kiosque hexagonal en bois.
L'atelier musée du chapeau à Chazelles sur Lyon est installé dans l' ancienne chapellerie Flechet. Cette petite ville des monts du Lyonnais était très prospère grâce aux chapelleries (elle en a compté jusqu'à 28) de feutre de poil de lapin. La mode du chapeau ayant fortement décliné après les années 50, ces entreprises ont fermé les unes après les autres.
Le musée atelier présente donc ces techniques traditionnelles, avec des machines très bien entretenues et en état de marche! Le visiteur peut avoir une idée des conditions difficiles dans lesquelles travaillaient les ouvriers.
On peut suivre la fabrication depuis l'arrivée des poils en sacs jusqu'à la présentation d'un chapeau. Les poils sont d'abord débarrassés des impuretés par soufflage dans une machine aux multiples engrenages. Ils sont ensuite déposés sur un cone métallique, c'est le batissage. En sort une énorme cloche très fragile qui va passer au semoussage. Ce premier feutrage les réduit d'environ 10cm. Elles passent alors au foulage: quelques heures de passage entre des rouleaux à picots et voilà la cloche réduite à la bonne taille, bien solide et plus épaisse.
Après vient l'étape teinture, autrefois à base de plantes.
Dans l'atelier musée, toutes ces étapes ne se font plus, le travail du chapelier commence à ce niveau:
Travail de la surface du feutre pour obtenir des qualités différentes: feutre ras en passant du papier de verre, feutre fourrure en tirant les poils et feutre taupé, en tirant les poils puis en les rasant. C'est la finition la plus douce.
L'étape suivante consiste à donner sa forme au chapeau. toutes les forces de chapeaux sont en bois, et chacune existe en différentes tailles.
Notre guide, passionnante, nous a bluffé en réalisant un chapeau en un rien de temps, avant de le lustrer à la brosse d'une main experte.
Après séchage, le chapeau passe aux finitions intérieures et aux décorations, avant de rejoindre la boutique.
Chaque année, les stylistes créent de nouveaux modèles.
Les vitrines du musée présentent des chapeaux de toutes formes, suivant les époques et les modes. On y trouve aussi des rubans, des décorations de fleurs et, bien entendu, une collection d'aiguilles à chapeaux. Ce petit ornement très utile peut aussi être un objet précieux.
Des personnalités ont donné l'un de leurs chapeaux, souvent indissociable de leur apparence (Chevallier, Churchill...)
Cette deuxième visite nous a passionnés.
Le musée atelier présente donc ces techniques traditionnelles, avec des machines très bien entretenues et en état de marche! Le visiteur peut avoir une idée des conditions difficiles dans lesquelles travaillaient les ouvriers.
On peut suivre la fabrication depuis l'arrivée des poils en sacs jusqu'à la présentation d'un chapeau. Les poils sont d'abord débarrassés des impuretés par soufflage dans une machine aux multiples engrenages. Ils sont ensuite déposés sur un cone métallique, c'est le batissage. En sort une énorme cloche très fragile qui va passer au semoussage. Ce premier feutrage les réduit d'environ 10cm. Elles passent alors au foulage: quelques heures de passage entre des rouleaux à picots et voilà la cloche réduite à la bonne taille, bien solide et plus épaisse.
Après vient l'étape teinture, autrefois à base de plantes.
Dans l'atelier musée, toutes ces étapes ne se font plus, le travail du chapelier commence à ce niveau:
Travail de la surface du feutre pour obtenir des qualités différentes: feutre ras en passant du papier de verre, feutre fourrure en tirant les poils et feutre taupé, en tirant les poils puis en les rasant. C'est la finition la plus douce.
L'étape suivante consiste à donner sa forme au chapeau. toutes les forces de chapeaux sont en bois, et chacune existe en différentes tailles.
Notre guide, passionnante, nous a bluffé en réalisant un chapeau en un rien de temps, avant de le lustrer à la brosse d'une main experte.
Après séchage, le chapeau passe aux finitions intérieures et aux décorations, avant de rejoindre la boutique.
Chaque année, les stylistes créent de nouveaux modèles.
Les vitrines du musée présentent des chapeaux de toutes formes, suivant les époques et les modes. On y trouve aussi des rubans, des décorations de fleurs et, bien entendu, une collection d'aiguilles à chapeaux. Ce petit ornement très utile peut aussi être un objet précieux.
Des personnalités ont donné l'un de leurs chapeaux, souvent indissociable de leur apparence (Chevallier, Churchill...)
Cette deuxième visite nous a passionnés.
Pour rendre le trajet moins ennuyeux, un petit jeu était proposé, avec un texte à compléter par des noms de départements. Les deux gagnants ont reçu une bouteille pour les féliciter de leur sagacité.
Belle journée surprise, sans une goutte de pluie et qui nous a permis, une fois encore, de découvrir les richesses de notre pays.
Belle journée surprise, sans une goutte de pluie et qui nous a permis, une fois encore, de découvrir les richesses de notre pays.